Statut : CERTAIN

Auteur : Brillenbar 🐻 – Physique Champtique (Pch)

Série : Principes champtiques – Vie et perception

Date de consolidation : 17/10/2025

1. Un monde lu par le champ

Tous les animaux, comme les humains, possèdent des capteurs de champ parfaitement fonctionnels, adaptés au niveau de champ dans lequel ils vivent. L’œil, l’oreille, le nez ou la peau ne captent pas des signaux distincts : ils lisent un même champ, selon différentes densités.

L’odeur correspond à un champ très diffus, le son à un champ agité, la vision à un champ condensé. Ainsi, il n’existe pas plusieurs sens : il existe plusieurs degrés de perception d’un même champ vivant.

2. Voir dans son propre champ

C’est une erreur scientifique d’affirmer que certains animaux, pourtant munis d’yeux, ne voient rien. Ils voient parfaitement, mais dans le champ propre à leur environnement : les animaux des profondeurs lisent les gradients du champ marin, les cavernicoles perçoivent les variations du champ interne, les oiseaux et insectes lisent les flux de champ atmosphérique.

Le Guacharo, par exemple, combine écholocation et vision : deux capteurs distincts pour lire deux champs complémentaires. La chauve-souris, elle aussi, perçoit le champ par résonance acoustique et le champ visible par ses yeux. Chaque espèce est ainsi un lecteur cohérent du champ qu’elle habite.

3. La lumière : interprétation du champ

En science, il reste utile de parler de « lumière », mais en Physique Champtique (Pch), on rappelle qu’il ne s’agit que de l’interprétation biologique d’un niveau de champ par notre cerveau. L’œil n’est pas un récepteur de photons : il est l’interface vivante entre le champ et la conscience. La vision n’est donc pas un phénomène optique, mais un dialogue champtique.

4. Unité du vivant

Tous les êtres vivants — animaux, humains, plantes — participent au même champ global, mais chacun le perçoit selon son degré d’accord avec la densité du milieu. La diversité sensorielle du monde animal illustre la continuité du champ vivant, et non une hiérarchie d’intelligence.

Les animaux ne sont pas moins conscients : ils sont plus fidèles à leur champ.